Il y a ta voix qui pleut en boucle dans ma tête
Le téléphone est vide
Ca bat en arythmie
Il y a tes mots qui crèvent ma poitrine
La boîte d’emails est vide
Ca frappe en dyslexie
Il y a tes caresses qui m’oppressent
Elles libéraient hier
Ca tremble en dyspraxie
Il n’y a plus grand horizon
Tu avais dit que si
Alors tu le dirais
Ca tangue en anxiété
Alors je me raisonne
Que ce n’est pas ce que je crois
Et puis et tralala
Mais c’est le vide de toi qui sonne
Et cogne
Et qui résonne
Tout s’évanouit
Est-ce que c’est comme faire du vélo
Est-ce que tout revient après des tonnes de rien
Il y a ta voix qui pleut en boucle dans ma tête
Le téléphone est vide
Il y a tes mots qui crèvent ma poitrine
La boîte d’emails est vide
Il y a tes caresses qui m’oppressent
Elles libéraient hier
Est-ce que je chiale
Est-ce que tu cesses
Sans sentence du réel
Est-ce que je cesse
Est-ce que tu chiales
Juste dans un flou souvenir
J’exècre l’égoïsme
Tes replis sans lueur
Et
Mon ventre ne pourra pas mourir à nouveau
Tu l’as fait rire hier encore
C’est donc qu’il avait un sursaut
Mais est partie la vie
Et puis
Et puit
Je noie le reste des vains papillons
Et l’attente enfantine
Je ne sais où je me tapis
Le sol déjà n’a plus ta trace
J’ai éclaté ta tasse sur le mur de la chambre
En pensées fortes
Et elles ont échappé
La porcelaine s'était tâchée
Alors
Il y a ta voix qui pleut en boucle dans ma tête
Le téléphone est vide
Ca bat en arythmie
Il y a tes mots qui crèvent ma poitrine
La boîte d’emails est vide
Ca frappe en dyslexie
Il y a tes caresses qui m’oppressent
Elles libéraient hier
Ca tremble en dyspraxie
Il n’y a plus grand horizon
Tu avais dit que si
Alors tu le dirais
Ca tangue en anxiété
Alors je me raisonne
Que ce n’est pas ce que je crois
Et puis et tralala
Mais c’est le vide de toi qui sonne
Et cogne
Et qui résonne
Tout s’évanouit
Mais les Vous me poursuivent
Si
Dis
Oui
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